On constate que les informations véhiculées par les médias au sujet de la santé sont habituellement fausses, et il ne s’agit pas d’une exception !
En effet, de nombreux chercheurs indépendants ont constaté que les informations « officielles » étaient presque toujours fausses ou déformées dans au moins une proportion de 50 % et certains ont même démontré cette désinformation grâce à leurs propres études menées de manière indépendante.
Voici quelques exemples. On a récemment constaté qu’il n’y avait aucune preuve scientifique que les statines étaient bénéfiques aux personnes souffrant de maladies cardiaques, mais que bien au contraire elles engendraient des problèmes de santé. De même, de nombreuses études concluent que l’effet réel des antidépresseurs résulterait d’un effet placebo et non pas d’une action sur les neurotransmetteurs ou sur la chimie du cerveau.
Une autre idée répandue est celle de l’augmentation de la mortalité liée au tabac. Nous n’irons pas jusqu’à dire que fumer est bon pour la santé, mais il semble que le tabagisme ne soit pas un facteur aussi morbide qu’on le dit. Il en va de même pour la viande qui serait à l’origine des cancers ou tout autre facteur impliqué dans l’obésité ou l’hypertension.
Si vous ne vous contentez que de l’information des médias en espérant y découvrir la vérité, vous vous rendrez vite compte que les solutions qu’ils vous proposent sont toutes en lien avec les grandes industries pétrochimiques ou agroalimentaires, y compris pharmaceutiques.
Attention, ces informations sont probablement erronées !
Si vous souhaitez connaître le chemin de la « vraie » vérité, il nous faudra chercher d’autres billets d’information par vous-même et faire preuve d’esprit critique en ne gobant plus tôt ce dont les médias vous gavent. Il semble que la responsabilité n’incombe pas aux directement médians, mais plutôt aux chercheurs qui leur transmettent des résultats tronqués et trafiqués.
Bien évidemment, le rôle du journaliste et des hommes d’information seraient de vérifier leurs sources et la véracité de leurs données, mais malheureusement les journaux à la solde des grandes industries ne vendront leurs exemplaires que s’ils éditent des études aux résultats spectaculaires et positifs.
Prenez donc bien conscience que si votre médecin vous prescrit une certaine pilule, ce n’est pas parce qu’elle a prouvé son efficacité dans le problème de santé dont vous souffrez, mais bien vraisemblablement parce qu’il y a une « formation médicale » à l’île Maurice à la clé. Il en va de même dans le domaine de la chirurgie ou il faut rentabiliser l’infrastructure et les appareils. On ne peut pas non plus faire confiance aux études issues des journaux médicaux qui sont régis par la même dynamique économique.
Actuellement, même les résultats obtenus en homéopathie sont remis en question et statistiquement les études utilisant des placebos donnent les mêmes résultats significatifs que les médicaments chimiques. La réussite d’un traitement dépend d’énormément de paramètres non contrôlables, sans compter l’influence de la relation patient-thérapeute, qui est sans aucun doute l’un des facteurs primordiaux dans cette réussite.