Studie zum Genomabbau und zur toxischen Akkumulation

Qu’il s’agisse d’un capital génétique caduc ou d’une tendance glandulaire déséquilibrée en raison des nombreux perturbateurs endocriniens dont nous sommes victimes, ce seront les enfants futurs qui en seront les premières victimes. Le sang du cordon ombilical d’un enfant qui naît actuellement contient de 300 à 400 toxiques. Ce n’était pas le cas il y a à peine un siècle. Cet « empoisonnement » dès la naissance est évidemment tout à fait anormal. Il constitue un phénomène de jamais vu au cours de l’évolution de l’espèce humaine.

Évolution et la transmission du capital génétique

Si nous étudions quelque peu la chronologie des faits concernant l’évolution et la transmission du capital génétique, nous constatons que de nombreux facteurs épigénétiques ont changé en un seul siècle. Ainsi, les personnes nées durant la guerre 40-45 ou juste après ont encore presque toutes été allaitées. Elles sont parmi les premières à avoir été vaccinées. Elles ont cependant encore bénéficié d’une alimentation relativement saine et peu contaminée par la pétrochimie. L’on peut dès lors considérer que le capital génétique et la tendance glandulaire qu’elles ont transmis à leurs enfants étaient encore relativement sains, d’autant que leurs parents, leurs grands-parents et leurs aïeux n’avaient eux-mêmes pas ou que peu connu l’ère industrielle et pétrochimique.

Années 60, omnipotence du secteur chimique

Née dans les années 60-65, la génération suivante voit se développer l’omnipotence de la médecine et du secteur chimique. L’on assiste à une période de médicalisation à outrance. La médecine moderne va tout guérir ! On enlève tout ce qui est en trop et qui semble inutile : les amygdales, les végétations, les appendices, tout y passe ! Le milieu scientifique s’accorde actuellement sur le fait qu’il s’agit d’autant de barrières immunitaires indispensables. Le féminisme mène à l’émancipation de la femme qui ne veut plus être « asservie ». Une femme moderne et active n’a ni le goût ni le temps pour l’allaitement. Au lait maternel tellement bénéfique se substitue le lait de vache destiné au veau. Les hormones de croissance qu’il contient en font une bête d’environ 1 tonne. Cela coïncide avec le début de l’épidémie actuelle d’obésité.

Les perturbateurs endocriniens (alors totalement inconnus) travaillent dans l’ombre au sabotage des générations futures.

Les années 60 sont également le temps de la libération sexuelle. Les prises de contraceptifs oraux se répandent. Le nombre de vaccins obligatoires (ou recommandés) et leurs rappels augmentent fortement. Les grandes surfaces se développent et la nourriture industrielle s’implante dans la vie quotidienne de tout un chacun. La télévision aussi fait son entrée dans les familles. Le capitalisme va sauver la planète entière de la pauvreté. Le rêve américain envahit l’Europe. Le matériel et la possession deviennent primordiaux. L’argent permet tout. L’homme se croit maître du monde. Les perturbateurs endocriniens (alors totalement inconnus) travaillent dans l’ombre au sabotage des générations futures.

Début du développement des nouvelles technologies électroniques

Les jeunes nés dans les années 80 cumulent l’ensemble de ces facteurs perturbateurs de santé. Durant ces années, l’on commence à entendre parler du sida et de l’augmentation des cas de cancer. Apparaissent également de nombreuses maladies auto-immunes comme les polyarthrites, les spondylarthrites et les scléroses en plaques. D’autres maladies de civilisation comme la fibromyalgie, la fatigue chronique ou les problèmes de thyroïde sont encore rares et peu connus. L’on commence à parler d’allergie et d’intolérance.

Les vaccinations de plus en plus nombreuses et de plus en plus précoces sont préconisées même pour des maladies bénignes, voire disparues. L’on redresse les dents avec les plaquettes dentaires, les pieds avec les semelles, l’on remodèle les seins avec des prothèses en silicone et l’on se fait refaire le nez ou raboter les fesses s’ils sont trop proéminents. L’homme et la femme souhaitent calquer leur image sur celles des « stars » du cinéma, de la télé ou encore ressembler aux images des mannequins diffusées par les publicités. Le paraître et le superficiel prennent le dessus vis-à-vis des valeurs profondes, de la culture et de la spiritualité.

C’est également le début du développement des nouvelles technologies électroniques. Les ondes s’implantent dans le domaine médical (échographie, scintigraphie, mammographie, etc.), mais aussi dans le quotidien de tous avec les ordinateurs et les premiers téléphones portables ou sans fil. La télévision devient le principal centre d’intérêt familial. La publicité stimule de plus en plus les désirs (principalement ceux des enfants), suscite la convoitise et génère des frustrations.

Dans le domaine de l’alimentaire, le génie génétique (OGM) pénètre le marché des céréales jusqu’au cœur du génome des graines et des légumineuses. C’est le règne des sodas et du fast-food. Tout doit aller vite ! Le four à micro-ondes permet de réchauffer en vitesse les plats tout préparés ou les biberons de bébé. À cela s’ajoutent cigarette et alcool qui « font les hommes » et qui donnent une image très « cool » ou « in » ! Tout cela à grand renfort de publicité qu’assènent lourdement les petits écrans.

malbouffe

Cette deuxième génération cumule en son génome la double empreinte morbide, la sienne et celle de ses parents. Le patrimoine génétique et l’équilibre des glandes endocrines se maculent d’un nombre croissant de facteurs de risques pathologiques.

L’apogée est atteinte avec la génération 2000-2010

Celle-ci cumule et accumule l’ensemble de ces dérives et de ces toxiques. En ce début de millénaire, les enfants naissent avec 300 à 400 molécules chimiques toxiques, toutes perturbatrices génétiques et endocriniennes, dans le sang du cordon ombilical. Voilà le triste constat du résultat de 2 générations d’intoxication.

En fin de compte, le terrain, le patrimoine génétique et le profil glandulaire sont complètement fragilisés et déséquilibrés. Allergies, intolérances, maladies auto-immunes, cancers défraient les chroniques. Au siècle dernier, des pathologies comme l’hypertension (problèmes circulatoires), le diabète ou même les cancers ne touchaient que les personnes âgées en fin de vie. Maintenant, elles affectent toutes les générations y compris les très jeunes enfants.

La médecine chimique et les vaccinations n’ont rien résolu. Elles ne font qu’aggraver les phénomènes allergiques et fragiliser le terrain. L’asepsie est reine. Il n’y a plus de place pour le contact avec les « méchants microbes » ou pour les maladies infantiles. Pourtant bien utiles puisqu’ils constituent l’un des acteurs indispensables au développement de l’immunité et à la croissance de l’enfant. C’est ce qu’affirment d’éminents médecins et chercheurs comme le docteur André Gernez ou les homéopathes réputés tels que Claude-Albert Quemoun ou Édouard Broussailan, mais aussi feu Sylvie Simon spécialiste des vaccinations ou encore sa complice feu Claire Séverac.

Cette troisième génération victime de l’énorme accumulation des empreintes morbides des générations antérieures est marquée par un véritable appauvrissement de son capital santé et met actuellement au monde des enfants porteurs de nombreux problèmes de santé dont certains sont catalogués de génétiques. Pourtant la génétique n’explique pas tout !

HBE Diffusion, PANNE Carol 14 Mai, 2017
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