Pour étudier la santé, les scientifiques et la médecine actuelle ne se réfèrent qu’aux seuls paramètres physiologiques et microscopiques. Ils fragmentent de plus en plus les êtres humains en systèmes et compartimentent leurs services en fonction des organes à étudier.
Nous avons récemment appris qu’il existait des rythmologues chargés d’étudier le seul rythme cardiaque, comme si étudier ce dernier isolément pouvait résoudre un problème de santé profond, sachant que le rythme cardiaque dépend bien entendu de l’état du muscle cardiaque, mais surtout qu’il est sous la coupe des hormones (thyroïdiennes et surrénaliennes). Et ce sont ces hormones elles-mêmes qui induisent la commande de ce rythme par l’intermédiaire du système nerveux que l’on nomme autonome.
La médecine comme « tout »
Les phytothérapeutes et autres médecins, étiopathes ou naturopathes ont heureusement compris que la santé devait plutôt s’envisager de manière globale ou holistique, en tenant compte de toute une série de facteurs. Font partie de cette approche holistique, le tempérament, la génétique, mais également l’épigénétique, c’est-à-dire tout ce qui influence et qui affecte notre corps à tout instant. Tout cela constitue un terrain, terrain dont va dépendre notre état de santé et terrain que l’on peut améliorer ou corriger entre autres grâce aux plantes.
Il n’y a rien de nouveau sous le soleil puisque depuis des millénaires et à travers toutes les civilisations l’homme a recours aux plantes médicinales afin d’améliorer sa santé ou pour se soigner et guérir de certaines maladies.
Cependant, si les plantes médicinales possèdent des indications ou des tropismes précis bien connus (pharmacopée), il faut garder à l’esprit que ce n’est pas la plante elle-même qui guérit le corps !
L’importance de l’énergie vitale dans la guérison
En effet, les plantes médicinales ne seront efficaces que si l’énergie vitale de l’individu est suffisante, car les plantes ne font que réveiller, stimuler ou aider les forces de guérison du corps. Ces forces de guérison sont directement proportionnelles au taux d’énergie vitale de la personne. Cette énergie vitale est elle-même directement liée à son état glandulaire et énergétique (chakras – corps énergétiques). Ainsi, si un individu est complètement épuisé (stressé, déminéralisé, malade), les plantes seules ne suffiront pas à le remettre sur pied. Il faut impérativement et avant tout ranimer sa force ou son énergie vitale.
Cette énergie peut être épuisée en raison de la vie trépidante que nous menons, mais également à cause des nombreuses pollutions que nous subissons au quotidien (atmosphériques, alimentaires, produits de soins corporels, électromagnétiques, etc.).
Un thérapeute qui utilise des plantes devra donc d’abord veiller à nettoyer ou à drainer le corps de son client afin de lever les barrages énergétiques. Ce nettoyage devrait s’accompagner de soins énergétiques dont le but est de restituer le capital d’énergie vitale du client qu’il souhaite aider.
Les moyens pour reconstituer le capital d’énergie vitale sont nombreux et variés. Ils incluent la respiration et l’oxygénation, le contact avec la nature, l’adoption d’une nutrition saine et dépourvue de toxiques, mais aussi des techniques de relaxation ou de gestion du stress, des massages, du drainage, des détoxinations grâce au sauna, hammam et autres soins du corps. On peut y ajouter des soins reiki ou toute autre méthode énergétique, ainsi que du sport doux et des activités sociales et de loisirs enrichissantes et épanouissantes.
Accompagnées de cette réforme globale d’hygiène de vie, les plantes peuvent réaliser de véritables petits miracles dans le domaine du retour à la santé.