Alzheimer ist eine Art von Diabetes

 

Ce n’est plus un secret pour personne, le diabète de type 2 ou diabète gras se développe de plus en plus et touche des populations de plus en plus jeunes. Autrefois on l’appelait le diabète de vieillesse, mais pour nos jeunes cela remonte certainement au temps des dinosaures !

 

Une autre maladie neurodégénérative, la maladie d’Alzheimer est en pleine croissance, si l’on peut dire.

Des recherches récentes sur cette pathologie cérébrale suggèrent que cette démence serait en réalité une variété de diabète. Publiée dans le Journal de la Maladie d’Alzheimer, une étude récente réalisée à l’Hôpital de Rhode Island (RIH) confirme qu’il existe bien une résistance cérébrale à l’insuline et une inflammation correspondante chez les sujets atteints de maladie d’Alzheimer. C’est pour cette raison que certains chercheurs la dénomment aujourd’hui « diabète de type 3 ».

C’est le Dr Suzanne de la Monte qui a fait cette découverte excessivement intéressante. Elle démontre par ses recherches que le diabète est intimement associé à plusieurs facteurs neuronaux-clés impliqués dans cette démence. Ainsi, la progression de l’Alzheimer résulterait d’une résistance des neurones à l’insuline. Cette résistance perturberait à son tour le métabolisme lipidique normal. Il semble qu’au fil du temps, les lipides s’accumulent dans le cerveau plutôt que d’être métabolisés. Ce phénomène induirait une inflammation chronique dont les symptômes sont semblables à ceux communément développés lors de la maladie d’Alzheimer.

Les résultats de cette étude devraient provoquer une remise en question des traitements actuels de ce type de démence. Le Dr de la Monte suggère qu’une fois le diagnostic établi avec certitude, les efforts thérapeutiques devraient cibler plusieurs actions et non une seule comme c’est le cas actuellement. Il faudrait briser ce cercle vicieux inflammatoire qui fait progresser la maladie. Tenter de restaurer une réponse cellulaire à l’insuline permettrait de réduire ce taux d’insuline, de diminuer la charge toxinique cérébrale et de rétablir un métabolisme cellulaire optimal et adéquat qui éviterait de produire de nouvelles toxines. Quelques conseils alimentaires peuvent s’avérer utiles pour prévenir à la fois l’insulino-résistance et les dégénérescences cérébrales de tous types.

 

Manger plus d’acides gras saturés bénéfiques comme ceux fournis par l’huile de noix de coco.

Éviter la prise de statines pour diminuer les taux de cholestérol. Énormément de personnes âgées touchées par la maladie d’Alzheimer prennent des statines afin d’abaisser leur taux de cholestérol ; or il a été démontré que les statines favorisent et aggravent cette maladie. De plus, elles-mêmes peuvent provoquer le diabète. Il est prouvé que des taux de cholestérol trop faibles sont nocifs pour la santé, car lorsque l’on supprime chimiquement de mauvais acides gras, on diminue également le taux de bons acides gras. Ces « bons » acides gras sont indispensables au fonctionnement harmonieux et optimal de notre système nerveux.

Une bonne fois pour toutes, il faut absolument comprendre que le corps humain a besoin de cholestérol pour conserver la santé. Un taux de cholestérol trop élevé qui obstrue les artères reflète un problème inflammatoire plus général. Ce phénomène empêche l’absorption correcte et l’utilisation normale du cholestérol. En d’autres mots, ce n’est pas le cholestérol lui-même qui pose problème, car il est le résultat d’un phénomène inflammatoire chronique. Il faut donc agir en amont sur ce processus inflammatoire.

Le simple fait de consommer plus de « bonnes » graisses saturées comme celles de l’huile de noix de coco peut diminuer les problèmes inflammatoires qui favorisent la progression de l’Alzheimer. Cela peut aussi augmenter l’absorption de cholestérol par le cerveau. Ce qui favorise un meilleur fonctionnement neuronal.

On constate une fois de plus, le fonctionnement erroné du système médical conventionnel qui depuis plusieurs décennies tend à bannir les graisses saturées et à réduire le cholestérol. Alors que la science montre que le corps humain a besoin de graisses saturées et de cholestérol, elles sont vitales pour maintenir une santé optimale du cerveau.

HBE Diffusion, PANNE Carol 12 Oktober, 2017
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