Verzadigde vetzuren tegen diabetes

Actuellement, environ 1 Américain sur 3 souffre de diabète. Principalement de diabète de type 2. Cela constitue donc au minimum 80 millions de personnes touchées par ce problème de santé publique. La médecine classique ne propose que des solutions médicamenteuses qui ne résolvent en rien le problème de fond, mais au contraire, qui ne font qu’en engendrer d’autres.

Les médecins feignent-ils d’ignorer ou ignorent-ils réellement que ce problème est évitable et réversible ?

Omettent-ils sciemment de donner des conseils nutritionnels ou des compléments alimentaires à leurs patients ou bien méconnaissent-ils ces solutions pourtant efficaces ?

L’une des premières choses à effectuer devrait porter sur la réduction du terrain inflammatoire qui va de pair avec l’acidose tissulaire. Pour cela, il faut agir à l’opposé de ce que nous recommandent les organismes officiels de santé, c’est-à-dire :

  • arrêt ou forte diminution de la consommation de céréales complètes (sucres complexes ou hydrates de carbone) dont la digestion enzymatique est très lourde et génère énormément de résidus acides,
  • bannir fortement, diminuer les laitages animaux allégés, écrémés, pasteurisés et issus de l’élevage industriel,
  • ingérer de bonnes graisses saturées : avocats, fruits secs ou oléagineux, huiles de colza, de lin, d’olive ou encore mieux celles de poisson et de coco,
  • réduire les viandes grasses et les charcuteries,
  • augmenter la consommation de fruits et de légumes, mais naturels c’est-à-dire sans produits phytosanitaires (= BIOLOGIQUES).

Des liens ont été établis entre syndrome métabolique (souvent bon indicateur d’un terrain prédiabétique) et développement du diabète. Ce syndrome conduit la plupart du temps à un réel état diabétique, état toujours accompagné d’autres troubles de santé tels qu’obésité ou maladies cardiaques.

Des chercheurs ont établi un parallèle entre le régime alimentaire de certains dauphins qui échappaient donc au syndrome métabolique et au diabète et le faible taux sanguin d’insuline et de triglycérides. Ces derniers mangeaient plus de graisses saturées (dont l’acide heptadécanoïque également connu sous le nom d’acide margarique). L’acide margarique n’est pas un composé pur, mais il est constitué d’un mélange d’acide palmitique et d’acide stéarique.

Alors que d’autres dauphins affectés par le syndrome métabolique présentaient de faibles taux d’acide heptadécanoïque et des taux sanguins d’insuline et de triglycérides élevés. Après avoir été nourris pendant six mois avec du mulet, un poisson riche en acides gras saturés (heptadécanoïque ou margarique), leurs paramètres sanguins se sont révélés normaux.

L’on sait aussi que des niveaux élevés de ferritine sont propices au syndrome métabolique, c’était le cas des dauphins atteints de ce syndrome. Après trois semaines de ce régime, leurs taux de ferritine étaient régulés.

À noter que l’on trouve ce type d’acides gras tellement bénéfiques dans les poissons gras, mais également dans les LAITAGES ENTIERS, CRUS ET NON TRAITÉS (filière biologique ou biodynamique).

Le docteur Stephanie Venn-Watson, directrice de la médecine de NMMF a déclaré au journal « Science », qu’il était vraisemblable que l’engouement pour les produits industriels écrémés, allégés et hydrogénés participait de cette carence diététique et favorisait très certainement cette épidémie mondiale de diabète.

HBE Diffusion, PANNE Carol 10 april, 2017
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