On a déjà entendu parler de la toxicité du mercure et de l’aluminium des vaccins, mais la toxicité des vaccins ne s’arrête pas aux simples métaux lourds.
Par exemple, le vaccin de Baxter, appelé Celvapan et administré par injection contre la grippe pandémique H1N1 est basé sur une nouvelle technologie virale cellulaire. Il a rapidement obtenu un certificat d’autorisation de mise sur le marché et il utilise des cellules cultivées provenant du singe vert africain. Information inquiétante, quand on sait que les tissus de ce même animal sont à l’origine de la transmission d’un certain nombre de virus, dont le virus du VIH. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la société Baxter est associée à des scandales de contamination meurtrière.
Quant au vaccin Focetria de Novartis, actuellement sur le marché contre la grippe H1N1, il contient un composant le MF59C.1 pour stimuler une meilleure réponse. Cet adjuvant est constitué de 9,75 mg de squalène ou scalène masqué sous le nom d’« adjuvant immunitaire », qui serait à l’origine de désordres auto-immuns dévastateurs pouvant eux-mêmes donner naissance à des arthrites rhumatoïdes, des scléroses en plaques ou encore des lupus, ce qui a d’ailleurs été démontré par de nombreuses études. Le Pandemrix de GSK (Belgique) contient un « adjuvant » et inducteur immunitaire le AS03 qui recèle 10,69 milligrammes de squalène.
Le scalène est associé au Syndrome de la guerre du Golfe. En effet, avec le recul il a été admis que les soldats vaccinés contre l’anthrax en 1990 et en 1991 courent un risque accru de 200 % de développer une Sclérose Latérale Amyotrophique, maladie qui peut s’avérer mortelle.
Les soldats vaccinés ont également souffert d’un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant parfois leur espérance de vie, telles que la poly-artérite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaque (SEP), le lupus érythémateux disséminé, la myélite transversale (désordre neurologique touchant la moelle épinière), l’endocardite, la névrite optique avec cécité et la glomérulonéphrite (une pathologie du rein). D’autres pathologies non mortelles mais très handicapantes ont été développées par ces soldats, comme l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, des éruptions cutanées et allergies diverses, de la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes de poils corporels anormales, des lésions cutanées ne guérissant pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, de la faiblesse, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements d’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets anti-thyroïde, de l’anémie, une élévation du taux d’érythrocytes, le syndrome de Raynaud ou de Sjorgren, de la diarrhée chronique et des sueurs nocturnes.
Des études utilisant des traceurs techniques précis ont démontré que le scalène, comme d’autres adjuvants immunitaires, passe habituellement la barrière encéphalique pénétrant le cerveau après la vaccination et provoquent rapidement et simultanément l’activation de l’ensemble des cellules microgliales cérébrales (de la microglie).. Il s’agit en fait d’une réaction de type inflammatoire du cerveau, inflammation qui peut persister pendant de longues périodes. C’est cette hyperréaction du système immunitaire qui est à l’origine des réactions auto-immunes. Le véritable danger lors de la vaccination réside surtout dans l’activation prolongée des cellules microgliales. C’estjustement cette activation prolongée qui déclenche la série des maladies précitées et peut-être aussi l’encéphalite post vaccinale. Malheureusement, ce type de réaction peut mettre des mois, voire des années à se manifester après l’injection vaccinale.
Et ce que la plupart des gens et même des médecins qui recommandent ou effectuent les vaccins ne savent pas, c’est que la plupart des études vaccinales effectuées par les firmes pharmaceutiques diffusant les vaccins n’observent les patients que seulement pendant une période d’une ou deux semaines après la vaccination.
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