Gifstoffen die je tijdens de zwangerschap moet vermijden

À l’évidence, adopter une alimentation saine durant la grossesse est primordial. L’idéal serait même d’éviter tous les toxiques alimentaires et autres polluants durant l’année qui précède la conception.

L’hydratation doit elle aussi être de qualité. C’est ainsi qu’il faudra éviter de consommer l’eau du robinet sans la filtrer. En effet même si les pouvoirs publics affirment que l’eau de nos robinets est « potable », ce sont eux qui fixent les taux maximum des substances polluantes et qui veillent à ce que ces seuils toxiques ne soient pas dépassés.

Les substances nocives présentes dans l’eau du robinet

L’eau du robinet contient :

  • du chlore, atome de la famille des halogènes comme l’iode, le brome et le fluor. Ils appartiennent à la classe des perturbateurs endocriniens.
  • des nitrates, reconnus comme très dangereux surtout pour les bébés et les enfants.
  • parfois des dépôts de plomb et d’aluminium, résidus des canalisations. Les tuyauteries actuelles sont en plastique, plastique dont les résidus sont tout aussi toxiques.
  • des métaux lourds : chrome, nickel, cuivre, zinc, arsenic, cadmium, mercure dont on connaît les conséquences sanitaires à long terme. Sachez que le mercure bloque les capacités de l’organisme à évacuer tous les autres toxiques.
  • des pesticides, herbicides, insecticides, fongicides, acaricides, bactéricides, etc. Nombre d’entre eux sont aussi considérés comme des perturbateurs endocriniens. Rappelons que le suffixe « –cide » vient du verbe latin « cædere» qui signifie tuer, détruire…

Au printemps 2013, une étude menée par le journal « 60 millions de consommateurs » révélait que parmi 47 marques d’eau en bouteille, 10 d’entre elles présentaient des traces de contamination médicamenteuse (hormones, vasodilatateurs) et d’autres polluants (alkylphénols, traces de pesticides et de désherbants). Une nouvelle étude de 2015 démontre une nette amélioration de cet état de fait. Cependant, elles peuvent aussi être contaminées par les matières plastiques (bisphénol A et des phtalates – perturbateurs endocriniens).

Au printemps 2013, une étude menée par le journal « 60 millions de consommateurs » révélait que parmi 47 marques d’eau en bouteille, 10 d’entre elles présentaient des traces de contamination médicamenteuse.

Plats préparés et industriels : dîtes non !

Lors d’une grossesse, il est recommandé de fuir la nourriture industrielle et les plats préparés en raison des nombreux additifs alimentaires qu’ils contiennent. Les fruits et légumes issus des grandes cultures et du circuit industriels sont abondamment arrosés de  produits phytosanitaires organophosphorés, organochlorés et autres pesticides ou insecticides. Ils sont sans pitié pour le corps et pour développement de l’enfant puisqu’ils constituent des perturbateurs endocriniens et des molécules reconnues comme neurotoxiques, et cela même par l’OMS… Afin d’éviter cette panoplie de produits tueurs, à moins de cultiver son propre potager, il n’y a pas d’autre alternative que de se tourner vers les végétaux issus de l’agriculture biologique ou biodynamique.

En adoptant une nourriture issue du secteur biologique, vous éviterez par la même occasion les additifs les plus toxiques. Les nombreuses données scientifiques récentes confirment de plus en plus que ce sont souvent les poisons ou les molécules chimiques sous forme de traces qui sont les plus destructrices et les plus délétères à la santé. C’est ainsi qu’il n’y a nul besoin de détailler tous ces additifs pour comprendre la dangerosité de leur contenu, mais également des résidus qu’ils recèlent sous forme de traces, résidus tels que les métaux lourds par exemple. Il s’agit de résidus totalement autorisés qui proviennent de leur processus de fabrication.

L’on sait actuellement que la barrière placentaire n’est pas aussi hermétique que ce que l’on pensait. En effet, il semble que ce filtre soit programmé pour des substances reconnues par notre organisme, ce qui n’est pas le cas de tous les produits que nous venons d’évoquer puisqu’il s’agit d’une panoplie de molécules chimiques de synthèse totalement ignorées par la nature.

Prenez garde, car l’on pourrait croire naïvement que la peau constitue également un filtre pour le bébé que porte la mère en son sein, mais ce n’est pas non plus le cas… puisque l’on sait que tout ce qui touche la peau se retrouve au cœur de la circulation sanguine dans les 20 minutes qui suivent le contact.

Conclusion, tout ce que vous portez directement sur votre peau (vêtements synthétiques, colorés avec des pigments chimiques, lavés avec des produits chimiques…) et tout ce que vous y appliquez rejoint rapidement et sans intermédiaire les organes vitaux tels que le foie, les reins ou les intestins, et par conséquent aussi les organes vitaux du bébé que vous portez. Fuyez donc les cosmétiques dont les étiquettes mentionnent des molécules aux noms imprononçables ou celles qui contiennent tous les dérivés de « Lauryl – laurel laureth, etc. » ou encore, tous les « ETH », « PEG » (phtalates, colorants, émulsifiants, parabènes, agents de conservation…), dérivés d’aluminium, de paraffine, de suif (en anglais « tallow »), de lanoline, de fluor, de formaldéhyde ou de limonène.

En bref, tout ce qu’une femme enceinte mange touche son bébé. Tout ce qu’elle applique sur sa peau devrait pouvoir être mangé. Donc tout ce qu’elle mange ou tout ce qui touche sa peau devrait être totalement naturel et TOTALEMENT DÉPOURVU DE TOUTE MOLÉCULE DE SYNTHÈSE (sous-entendez par-là molécule chimique) !

HBE Diffusion, PANNE Carol 12 mei, 2017
Partager ce poste
Archief
Verlichten van dysmenorroe met Chinese geneeskunde