Savez-vous que contrairement à ce que nous affirment les cardiologues, les pharmaciens, les organismes officiels de santé ou les associations sanitaires, les graisses saturées sont bonnes pour la santé !
C’est particulièrement le cas du beurre…
En cas de diabète, les recommandations classiques d’hygiène alimentaire sont : supprimer les acides gras saturés et consommer des céréales complètes. Ces dernières années, les preuves scientifiques s’accumulent pour démontrer qu’il faudrait faire exactement l’inverse.
Le beurre, particulièrement s’il est cru, d’origine organique ou biologique et fabriquée à partir de lait de vaches élevées en pleine nature, constitue un apport d’acides gras saturés excessivement salutaire pour éviter ou pour contrer les prises de poids ou le diabète.
Il est une excellente source d’acide heptadécanoïque appelé également acide margarique. Les effets de cet acide gras, dont les études sur les dauphins ont prouvé qu’il diminuait les risques cardiaques et diabétiques, ont également été étudiés durant 14 ans sur un échantillon de près de 27.000 personnes âgées de 45 à 74 ans.
Parmi cette population, ceux qui ont mangé 8 portions quotidiennes de produits laitiers naturels ont vu le risque
de diabète diminué de 25 % par rapport à ceux qui n’en ont absorbé que 4 portions par jour.
Le docteur Ulrika Ericson à la tête d’un important centre de diabète à la Lund Université de Malmö en Suède explique que l’on peut argumenter les résultats observés lors de cette étude. La diminution de ces risques sanitaires ne se manifeste que lors de la consommation de laitages à haute teneur en acides gras. La consommation de laitages écrémés ou « Light » ne procure pas du tout cet effet protecteur vis-à-vis du diabète de type 2.
En 2010, une étude publiée dans les annales de la médecine interne expliquait déjà que l’acide palmitoléique présent dans les laitages entiers démontrait un caractère protecteur vis-à-vis de la résistance à l’insuline et du diabète. Les taux élevés de transporteurs sanguins pour cet acide gras étaient corrélés à une diminution de deux tiers de risques de développer un diabète de type 2 contrairement aux personnes qui présentaient des taux nettement inférieurs pour ses transporteurs.