Er is squalene en squalene... Een verhaal in verband met vaccins!

Des chercheurs de la Tulane Medical School et du Walter Reed Army Institute of research ont apporté la preuve, par des traçages radioactifs, que le système immunitaire développe une réponse spécifique vis-à-vis du squalène contenu dans les vaccins. La conclusion : le squalène des vaccins pénètre dans les organes, mais aussi la barrière encéphalique, c’est-à-dire le système nerveux et le cerveau. À ce niveau, le système immunitaire le considère comme un ennemi à attaquer et à éliminer.

Pourtant si vous vous intéressez à la médecine naturelle et aux compléments alimentaires vous savez certainement que le squalène en capsule et sous forme de complément nutritionnel est considéré comme bénéfique pour la santé et vous avez raison.

La différence fondamentale qui rend cette substance bienfaitrice ou non, réside dans son mode d’administration. Tout immunologiste sensé vous dira que c’est le chemin que prend un antigène pour rencontrer le système immunitaire qui fait toute la différence.

Ainsi, si vous avalez du squalène, vous n’éprouverez vraisemblablement aucun problème de santé, bien au contraire. En effet, comme il s’agit d’un lipide, votre corps n’aura aucune difficulté à le digérer. Il n’en va pas du tout de même lorsque le squalène est injecté. Une injection n’est pas une voie naturelle de pénétration d’une substance dans le corps. Il faut savoir que dans la mesure de ses moyens, l’organisme éliminera beaucoup plus facilement un poison ou une substance toxique s’il l’absorbe par voie orale. Par contre, une substance administrée par injection aura une action beaucoup plus profonde et sera beaucoup plus directement en contact avec le milieu intracellulaire. Les produits injectés ne font l’objet d’aucun filtrage, d’aucune digestion, ni préparation avant d’être absorbé et de pénétrer le milieu intracellulaire. C’est le cas des vaccins, l’antigène va directement dans le sang, où se trouvent les rouages les plus profonds et les plus intimes du système immunitaire.

Des études ont montré que le squalène injecté va engendrer une réaction de destruction des acides gras et des molécules identiques constituant les tissus du corps. Ce phénomène est appelé « mimétisme moléculaire ». C’est un processus qui ne s’arrête jamais, car le corps continue à fabriquer les molécules identiques à l’antigène et le système immunitaire ne cesse de les attaquer et donc de détruire lestissus constitués de molécules similaires. Par exemple, c’est ainsi qu’est attaquée la myéline formant la gaine des nerfs. Le corps fabrique de la myéline en permanence pour protéger et réparer l’enveloppe nerveuse. Malheureusement, dans le cas où la vaccination engendre une réaction auto-immune, comme une SEP (sclérose en plaques) ou une SLA (sclérose latérale amyotrophique), la myéline est considérée comme un ennemi puisque le corps a été programmé grâce aux adjuvants des vaccins pour détruire des molécules de structures proches à la myéline, mais il détruit la myéline par la même occasion.

C’est le même processus qui a été identifié dans les cas d’autisme par le Dr Vijendra SINGH (Utah State University). Ses recherches tendent à prouver que des auto-anticorps attaquent la myéline des enfants autistes. Elle a montré que chez des enfants, tous vaccinés contre le ROR (rougeole-oreillons-rubéole), on retrouvait des auto-anticorps dirigés contre la protéine de base de la myéline (MBP) de même qu’un taux très élevé d’anticorps contre la rougeole. Des tests ont montré la présence anormale d’anticorps anti-ROR chez 60 % des enfants autistes (soit 75 sur 125). En outre, il y avait une corrélation (+ de 90 %) entre les anticorps anti-ROR et les auto-anticorps de la protéine MBP, ce qui met en évidence la relation entre le vaccin ROR et l’auto-immunité existante dans le cerveau chez ces enfants autistes.

HBE Diffusion, PANNE Carol 13 maart, 2014
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