Il y a quelques semaines les médias américains diffusaient une campagne d’alerte concernant la dangerosité des vitamines, allant jusqu’à affirmer qu’un surdosage de certaines d’entres elles pouvait même tuer. On vit apparaître dans la presse quelques centaines de titres aussi effrayants les uns que les autres du style « Des taux de mortalité plus élevés chez les femmes qui consomment des suppléments vitaminés », « Les vitamines peuvent augmenter le risque de mortalité des femmes plus âgées », « Les suppléments de vitamines font plus de mal que de bien ! », etc.….
Il s’agit en fait d’une énorme campagne de désinformation ou d’un gigantesque « hoax », pour ceux qui pratiquent le langage Internet.
Pour mettre ce « canular » en place, la presse s’est emparée d’une étude « scientifique » très pauvre, très mal menée et classée sans suite dans les archives d’un département hospitalier de médecine interne, étude dont les conclusions sont totalement incorrectes.
Comme on l’a bien compris maintenant, la majorité des organismes de presse est en grande partie financée par l’industrie pharmaceutique et ne manquent donc jamais une occasion d’attaquer les vitamines, les compléments alimentaires ou toute autre méthode naturelle de soin alternatif.
Des chercheurs ont démontrés que les statistiques et les résultats de cette étude avaient été falsifiés et mal interprétés, omettant le poids corporel des sujets étudiés, ignorant les corrélations entre leur nutrition, les pathologies qu’ils présentaient et les risques de mortalité qui y étaient liés…
De plus, l’amalgame est une nouvelle fois créé puisque aucune distinction n’est faite entre les vitamines synthétiques et les vitamines naturelles ou celles apportées par les aliments crus et vivants, alors que nous savons tous pertinemment bien qu’il existe une différence capitale d’assimilation, d’efficacité et de nocivité entre ces 3 catégories de vitamines. Cette ruse est bien connue et pratiquement toutes les études médicales conventionnelles au sujet des vitamines utilisent cette même tactique, refusant de faire la distinction entre une supplémentation naturelle et celle à base de vitamines synthétiques, vitamines synthétiques qui restent malgré tout des molécules chimiques non reconnues et non assimilées par le corps et qui constituent des « poisons » au même titre que les médicaments, et qui surchargent le foie et les émonctoires.
Si cette étude ne possède aucune rigueur scientifique, les résultats archivés dans un service de médecine interne présentaient malgré tout un certain intérêt. En effet, le service dans lequel travaillent médecins et chercheurs responsables de cette étude engrange quelques millions de dollars offerts par les entreprises pharmaceutiques à conditions qu’ils prescrivent des produits fabriqués par lesdits laboratoires, y compris leurs vitamines et minéraux chimiques et non des compléments alimentaires naturels. Si les journalistes avaient réellement rempli leur rôle d’investigation, ils auraient constaté que l’étude dont ils ont parlé n’indique absolument rien de fondé scientifiquement au sujet des vitamines et que si cette étude avait été réalisée de manière réellement scientifique, les résultat auraient démontré les bénéfices des vitamines. Mais dans ce cas, sans doute aucun journal n’aurait fait paraître une seule ligne à ce sujet.
Cette fraude scientifique évidente dont la conclusion est que les « vitamines pourraient vous tuer » semble malheureusement parfaitement correcte aux yeux de la communauté scientifique bornée et des médecins « pures allopathes », des médias et des journaux médicaux corrompus et totalement à la botte des lobbies qui les sponsorisent et les font vivre.