Osons les thérapies alternatives contre la dépression

Aujourd’hui, le monde s’éveille et il nous donne ainsi la possibilité d’accompagner de manière holistique son chemin vers la santé. Il y a quelques années encore, soigner une dépression était uniquement synonyme d’antidépresseurs, d’anxiolytiques et de somnifères.  D’ailleurs, très peu de personnes étaient conscientes des possibilités qui s’offraient à chacun d’entre nous pour nous aider à aller mieux.

Combien de boîtes de médicaments ont été vendues par le monde pour soigner ou simplement soulager un mal être ? Une diminution des ventes avait été remarquée dans les années 2013 mais suite aux attentats et aux conséquences logiques sur le moral d’une grande partie de la population, une hausse a de nouveau été signalée en 2015.

Selon le rapport d’expertise de l’ AFSSAPS : Source (http://ansm.sante.fr)

  • 22 benzodiazépines ou apparentées sont commercialisées en France en 2011
  • 134 millions de boîtes vendues en 2010 dont 50,2 % d’anxiolytiques et 37,6 % d’hypnotiques
  • 183 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2010, soit 0,7 % du montant total des ventes de médicaments en France
  • En 2010, 20 % de la population française a consommé au moins une fois une benzodiazépine ou apparentée;
  • 60 % des consommateurs de benzodiazépines ou apparentées sont des femmes
  • Le temps de traitement médian est de 7 mois pour une benzodiazépine anxiolytique et hypnotique ou apparentée
  • 22 % des consommateurs ont recours à 2 benzodiazépines simultanément
  • 131 millions de boîtes de benzodiazépines ont été vendues en 2012 contre 134 millions en 2010
  • Environ 20 % des effets indésirables graves rapportés avec les benzodiazépines sont des affections du système nerveux (somnolence, coma et perte de conscience) et environ 15 % des affections psychiatriques (état confusionnel, agitation, désorientation…)

Cette agitation autour des médicaments fait peur. C’est pourquoi aujourd’hui, nous avons la possibilité de diminuer largement le taux de médicaments ingérés par les français en leur proposant des thérapies alternatives, complémentaires au suivi médical de base.

Quelles sont les méthodes alternatives contre la dépression ?

  • Les plus connues sont :
    • L’homéopathie
    • La psychothérapie
    • La programmation neuro linguistique : PNL
    • L’EFT, une méthode de libération des blocages par tapotement.
    • L’aromathérapie
    • L’ostéopathie
    • La sophrologie
    • L’hypnose
    • La méditation
    • La pleine conscience
  • Les thérapies par le toucher : le massage
  • Les méthodes liées à la médecine traditionnelle chinoise
    • L’acupuncture
    • Le shiatsu
    • La moxibustion
    • Le Qi Gong
    • Le Taï Chi Chuan
    • Les massages chinois
    • La réflexologie plantaire ou palmaire
    • L’auriculothérapie
    • La thérapie par les ventouses
  • L’art-thérapie
  • La chromothérapie
  • L’iridologie
  • Les thérapies énergétiques et vibratoires
    • La kinésiologie
    • La radiesthésie
    • Les soins énergétiques : reiki ou autres
    • Les médecines quantiques
    • L’harmonisation des chakras
  • La naturopathie et l’ayurvéda (médecine traditionnelle indienne) peuvent également apporter des solutions et des clés au patient car ces techniques de santé permettent de considérer la personne dans sa globalité.
  • Etc.

A ce jour, le développement personnel prend également de plus en plus de place  dans le monde littéraire et le web, et donc dans la vie d’une population qui tend à grandir de plus en plus vers un bien être dit « green » en évitant un maximum la médication chimique, sauf lorsque cela est vraiment indispensable.

Les thérapeutes alternatifs se développent de plus en plus et ils nous donnent ainsi l’occasion de trouver l’outil qui correspond le mieux à notre évolution vers la santé et le mieux-être. N’ayez pas peur de franchir leur porte, tout en n’oubliant pas de conserver votre suivi médical complet chez votre médecin traitant car les thérapies alternatives ne pourront vous soutenir et vous accompagner que si vous prenez votre mal être en considération dans sa globalité.

Vanessa Colant 18 décembre, 2017
Partager ce poste
Archiver
Des molécules chimiques entraîneraient des risques d’obésité ?